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On le voit partout… Même sur ce site - mais si l'on en croit son ami Michel Castagné, il n'en est pas heureux ! (voir réunion publique mars 2008 et l'intervention du notable)
MAURY Daniel : Conseiller Général du Canton de Montcuq (Lot) et Maire de MONTCUQ (dans le Lot) et président de la communauté de communes de Montcuq, on le voit aussi dans des associations subventionnées par Daniel Maury, à la Saur, service de l'eau, aussi...
Le canton de Montcuq est ainsi devenu la petite Maurytanie
Depuis 2007, quand on lui parle de Culture, monsieur Maury sort son Monopoly ?
actualité 2008 : jeudi 6 mars 2008, j'étais à Montcuq, à partir de 21h, pour la réunion publique
de Daniel Maury , candidat à sa succession.
SKETCH : La voiture du maire de Montcuq
(le maire de Montcuq roule en Ford Focus ?)
NE PAS CONFONDRE avec Daniel Maury décédé en septembre 2003 à l’age de 66 ans, qui fut
pendant près de 30 ans, rédacteur en chef du mensuel « La Pêche et les Poissons »
Canton de Montcuq Conseiller Général : Daniel MAURY
Candidat "de gauche" aux élections législatives... et ainsi "une terre de gauche "bascula" à droite...
Daniel MAURY FIT BIEN RIRE... :
Avec sa présentation lors des élections législative du 16 juin 2002
Je tiens à remercier les 12 813 électrices et électeurs qui m'ont manisfesté leur confiance en me plaçant en tête de la gauche dès le premier tour
dès le premier tour... je pense ne pas être le seul à m'être exclamé :
si tu n'avais pas été en tête de la gauche au 1er tour, tu ne serais pas au 2eme...
Mais depuis j'ai rencontré monsieur Daniel MAURY... et je ne suis donc pas surpris de ce barbarisme...
Votre commentaire Montcuquois
- le 30 octobre 2013 à 12 : 50
par ternoise : Jeanine Ausset a hérité du poste au Conseil Général, où elle est estampillée PRG... ce qui surprend dans le canton ! Après petite enquête elle semble se considérer « sans étiquette » mais accepte le "tatouage".
« Touché par des problèmes de santé qui ne lui permettent plus d’assumer ces fonctions avec la rigueur et l’engagement qui ont toujours caractérisé son action, Daniel Maury, conseiller général PRG de Montcuq vient d’envoyer sa lettre de démission au préfet du Lot, après en avoir averti le président du conseil général, Gérard Miquel » notait sa Dépêche du midi le 4 octobre 2012. Le même quotidien, propriété de Jean-Michel Baylet, président du PRG, consacrait peu de place, finalement, à la dernière étape, publiée le 8 février 2013 : « Daniel Maury, dans tous les cœurs », sous-titré « Un millier de personnes à Saint-Cyprien. »
On ne peut rien reprocher à Laurent Benayoun : quand on accepte de travailler dans un tel "organe de presse", il faut suivre. « Une immense foule a partagé, hier, à Saint-Cyprien, la douleur de la famille de Daniel Maury. L’ancien maire et conseiller général PRG de Montcuq s’est éteint lundi à l’âge de 66 ans. »
Selon ses informations, la foule eut droit à de la musique, du Nino Ferrer « On dirait le Sud ». Saint Cyprien oblige ! Les « élus (le conseil général au grand complet, les maires du Quercy Blanc), personnalités (Maurice Faure, Bernard Charles, très affecté, la veuve de Nino Ferrer) ont accompagné Daniel Maury ailleurs. » Gérard Miquel aurait parlé : « Daniel était un homme attachant, passionné, engagé. Il était simple, tendre et humain avec les autres ». Il n’est pas précisé s’il est parvenu à convaincre son auditoire de sa sincérité.
Dominique Orliac, la députée, non citée parmi les élus ni les personnalités, était bien présente, elle « termina son hommage au bord des larmes. » Auparavant, elle avait, à son tour, salué « l’humaniste au lien si fort avec le Quercy Blanc. Il avait imprimé son empreinte à ce territoire. Daniel était aimé et respecté. Il était fidèle à ses convictions radicales et républicaines. C’était un homme de terrain, qui avait le sens du consensus». Pour le médecin devenue amie "Daniel regardait la maladie sans ciller. C’était un géant d’amitié"». Un géant ! Vu de quelle fourmilière ?
Trois jours plus tôt, le même journaliste avait été chargé, dans un article plus long, d’apprendre la nouvelle à son fidèle lectorat, osant même écrire, faute peut-être de vocabulaire plus dithyrambique (mot peut-être inconnu des abonnés) : « L’élu de Saint-Cyprien, et du canton de Montcuq, était un homme respecté de tous. Un élu engagé, proche des gens et défenseur acharné de sa terre. » Peut-être qu’au montage une précision fut gommée "Proche des gens du PRG." Quant à la formule sur l’homme respecté de tous, c’était certes la circonstance pour la placer et il est vrai qu’on ne m’a pas signalé de feux de joie ni d’artifice, pas même de défilés. Je pense qu’il y eut une grande indifférence : si ce n’avait pas été lui, c’aurait été un autre ; c’est le système qui est mauvais, qu’il faut changer, les opportunistes qui accaparent les places méritent un simple sourire insoumis, sûrement traduit dans de nombreux foyers par l’envie de reprendre l’apéritif ou des pâtes aux œufs frais. Il eut également droit à ce qui peut s’assimiler à un certificat de Paradis : « Une figure du radicalisme lotois vient de disparaître. » Un passage essentiel pour qui veut comprendre, peut-être même comprendre la vie ! Le journaliste n’y a peut-être pas pensé, se contentant de rapporter des faits, ce qui est tout à son honneur... « Sa carrière politique, qu’il avait dû délaisser du fait de sa maladie, aurait pu prendre une autre tournure en 2002. Daniel Maury avait, en effet, remplacé au pied levé Bernard Charles, député de la première circonscription, qui avait renoncé à se présenter aux législatives. La désunion de la gauche ajoutée à la Berezina de la défaite de Lionel Jospin avaient conduit son adversaire de droite, Michel Roumégoux, à la victoire. Daniel Maury avait été blessé par cet épisode. Il s’en remit lentement pour repartir à l’assaut, se réfugiant sur ses terres du Quercy blanc et au bord des terrains de foot, son élément naturel. »
Daniel Maury blessé de ne pas être député sur des terres qualifiées d’ancrées à gauche ! Il y a donc vraiment cru ! Il y perdait même rapidement, après cette aventure, son bref leadership lotois, remplacé par la femme au bord des larmes en 2013, qui elle réussirait à l’emporter en 2007. Il dut alors comprendre qu’il ne serait jamais député... tout était perdu ! Tellement de pouvoirs mais incapable de franchir la marche suivante ! Devoir se limiter au canton de Montcuq, et peut-être ne même pas résister à la fusion avec celui de Castelnau-Montratier ! Est-ce par cette blessure qu’est entrée la maladie ? C’est fragile, une vie, "un rien" peut la briser...
Parmi les réactions, celle de Martin Malvy, qui ne se déplacerait donc pas à l’enterrement : « C’est avec beaucoup tristesse que j’apprends la disparition de Daniel. C’était un homme d’action, un élu rigoureux, passionné par ses fonctions de maire, de président de communauté de communes. Daniel a longtemps présidé l’office HLM du Lot. Il s’était là aussi dévoué au développement de notre département. »
Il convient donc d’en conclure qu’il n’y eut ni réaction ni accompagnement à la dernière demeure, chez Jean-Michel Baylet, pour lequel Daniel Maury fut pourtant un bon soldat cantonal. Eh oui, mec, fallait au moins devenir député, alors là peut-être même serait-il venu accompagné de Sylvia Pinel.
Lundi 15 décembre 2008, soit quelques mois après sa réélection au Conseil Général, Daniel Maury laissa son fauteuil de maire à son premier adjoint, Guy Lagarde. Une forme de continuité : un ancien assistant parlementaire de Bernard Charles puis de Gérard Miquel. Aucune "révolution culturelle." Un jour peut-être un maire essayera de rattraper l’indécence de certains comportements... quand les vieux seront sous terre, et que nous serons des vieux à notre tour !
Les mauvaises langues ont osé en conclure qu’on peut rester au Conseil Général même si l’on n’est plus en capacité d’exercer son travail de maire…
- le 01 octobre 2013 à 12 : 02
par pascal : A voir monsieur Daniel MAURY n'était pas aimé par tout le monde "chez lui" !
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